The economics of Information Technologies Standards &

This research investigates the problem of Information Technologies Standards or Recommendations from an economical point of view. In our competitive economy, most enterprises adopted standardization’s processes, following recommendations of specialized Organisations such as ISO (International Organisation for Standardization), W3C (World Wide Web Consortium) and ISOC (Internet Society) in order to reassure their customers. But with the development of new and open internet standards, different enterprises from the same sector fields, decided to develop their own IT standards for their activities. So we will hypothesis that the development of a professional IT standard required a network of enterprises but also a financial support, a particular organizational form and a precise activity to describe. In order to demonstrate this hypothesis and understand how professional organise themselves for developing and financing IT standards, we will take the Financial IT Standards as an example. So after a short and general presentation of IT Standards for the financial market, based on XML technologies, we will describe how professional IT standards could be created (nearly 10 professional norms or recommendations appear in the beginning of this century). We will see why these standards are developed outside the classical circles of standardisation organisations, and what could be the “key factors of success” for the best IT standards in Finance. We will use a descriptive and analytical method, in order to evaluate the financial support and to understand these actors’ strategies and the various economical models described behind. Then, we will understand why and how these standards have emerged and been developed. We will conclude this paper with a prospective view on future development of standards and recommendations.information technologies, financial standards, development of standards, evaluation of the economical costs of standards

innovation, recherche et insertion: vers une mutation des universités

International audienc

Le management « durable » au cœur de l’e-administration :: vers une approche multidimensionnelle, fonctionnelle, humaine, technologique et durable.

International audienceL’apport des Technologies de l’Information et de la Communication « TIC » dans le monde d’aujourd’hui ne peut être écarté de toute évolution organisationnelle, sociale, sociétale, culturelle, économique et scientifique. Néanmoins, les TIC sont au cœur de paradoxes. Nous citons à titre d’exemple qu’elles sont utilisées pour solutionner des problèmes qu’elles ont elles même contribué à faire naître. L’informatique paraît, en surface, comme fondée sur une industrie propre basée sur l’immatériel. Elle puise son évolution et son développement, sans cesse croissant, sur des ressources de plus en plus croissantes et énergivores.Même si un management durable de l’administration publique passe, entre autre, par une dématérialisation de l’information et une optimisation des processus administratifs, plusieurs mythes sont en train d’être dissipés au sein de la communauté de spécialistes tels que les mythes de dématérialisation et du zéro papier, le mythe de la faible consommation énergétique, le mythe de leur immatérialité, … Par l’intégration des outils technologiques, les acteurs de la fonction « administrative » voient leur rôle totalement modifié. Si dans les « processus administratifs classiques », l’un des plus importants indicateurs est la connaissance du domaine, dans le mode « exploitant des TIC », les indicateurs essentiels couvrent un large spectre : des indicateurs qualifiant l’activité elle-même, aux indicateurs de la performance technologique en passant par ceux qui caractérisent les différents acteurs humains. Pour étudier cette mutation, nous nous appuyons sur une approche de conception de systèmes d’information communicants dite l’approche tridimensionnelle fondée sur une dimension humaine, une dimension activité et une dimension technologie auxquelles nous associons d’une façon transversale, une quatrième dimension : la dimension durable ou Green. L’approche tridimensionnelle nous permet de disséquer les différents éléments constitutifs du système d’information communicant à mettre en place dans un contexte d’e-administration. Elle offre un cadre méthodologique sur lequel nous nous sommes appuyés. Cependant, la dimension durable se trouve noyée voire inexistante à travers cette démarche tridimensionnelle. Nous nous sommes attardés dans notre article à relever certes les apports technologiques, fonctionnels, l’importance des aspects humains dans l’e-administration, mais nous relevons l’importance la dimension green, son périmètre, ses apports dont plusieurs sont à leur prémisses voire encore théoriques.Dans les administrations, les systèmes technologiques présentent certes des socles technologiques globalement très proches voire identiques dans certains cas, mais les besoins informationnels associés à chaque système le sont nettement moins. De même, les différents acteurs qui constituent la dimension humaine de chaque système sont très diversifiés et présentent des profils très hétérogènes. Les profils des usagers de l’e-administration couvrent la totalité des profils existants dans une société. En somme, il ne s’agit pas de mettre en place des systèmes d’information communicants sans pour autant garantir aux citoyens, aux entreprises, voire même aux administrations, les moyens d’accès à ces systèmes d’information en accord avec un management durable. De même, les acteurs et usagers doivent être accompagnés dans leur démarche administrative via les outils technologiques. L’un des principes fondamentaux de l’e-administration, c’est d’offrir les mêmes moyens et garantir les mêmes qualités de services à tous les citoyens. Le management des administrations utilisant les TIC redimensionne les pratiques managériales et les processus fonctionnels. Les projets d’e-administration dépendent de facteurs divers et variés, tant sur le plan Activité (réglementation, normes, contraintes budgétaires), sur le plan Technologique (outils déployés, volet sécurité et accès aux données) , sur le plan Humain (acteurs mobilités, rôles de chacun, compétences nécessaires, …) que sur le plan des responsabilités sociales des organisations.L’expérience de mise en place de l’e-administration avec une dimension « green » nécessitera d’adopter de la part des « agents administratifs » une nouvelle mentalité axée sur le service ainsi que de nouvelles façons de travailler avec les autres acteurs. De même, que les usagers ou utilisateurs doivent s’adapter aussi à ces nouveaux modes de communications, de transmissions et de traitements numériques. Certains environnements favorisent mieux que d’autres cette intégration du numérique dans l’administration. Mais tout n’est pas simplement questions de moyens. Il faut aussi accompagner l’ensemble des acteurs dans ce processus d’innovation administratif en particulier son volet « durable ».En conclusion, le développement d’un Environnement Numérique de Travail « ENT » dédié aux citoyens dans un contexte d’e-administration pose le triple problème :-des systèmes d’information sectoriels ont été développés les uns indépendamment des autres. A titre d’exemple, au niveau d’un pays, plusieurs administrations centrales, ministères ont développé leurs systèmes d’information pour répondre à leurs propres besoins fonctionnels : les douanes, le ministère des finances, les impôts, …. Ce qui nous met en présence d’une multitude de systèmes d’information dont le citoyen a besoin. Mais leur diversité pose le problème de la maîtrise de ces systèmes par l’utilisateur « usager ».-l’administration se présente, en général, sous plusieurs strates : niveau communal, départemental, ministériel, national, voire international. Ces strates organisationnelles et structurelles engendrent, les mêmes niveaux de stratification, en ce qui concerne les systèmes d’information. Devant cette diversité, le citoyen en tant usager, ne peut s’y retrouver.-l’intégration des TIC doit assurer un management durable, intégrant une responsabilité sociale de l’organisation.Cette triple décomposition de « l’administration », verticalement par niveau géographique, horizontalement par secteur et globalement en adoptant une vision durable, permet de mettre en place un management durable assurant un développement présent et futur à travers l’e-administration, Une refonte globale doit être menée en s’appuyant à la fois sur les systèmes d’information sectoriels, sur les systèmes d’information fondés sur le niveau de découpages administratifs (commune, département, …) aboutissant à la mise en œuvre d’un « hub-informationnel ». Cet Hub-informationnel peut-être une solution pour les pays émergeants qui disposent de systèmes d’information communicants sectoriels. Cela permettrait d’utiliser les structures et les processus existants pour les mutualiser en un hub information au service de « l’administration en générale et du citoyen »

Vers une mutation des missions universitaires par la recherche, l’innovation, l’insertion et l’évaluation.

International audienceLa mutation des universités par l’innovation, la recherche, l’évaluation, l’insertion et le numérique est devenue une nécessité dans le monde d’aujourd’hui. Les efforts de développement des universités à travers le monde s’appuient fortement sur les préoccupations auxquelles le monde socio-économique actuel est confronté. En effet, il ne s’agit plus, pour les universités, de « former » uniquement en transmettant des savoirs mais aussi d’aider les étudiants à acquérir des savoir-faire pour devenir des « vrais acteurs » dans la société. Cette réorientation des objectifs des universités fondées sur l’innovation, la recherche et l’évaluation implique voire impose de nouvelles formes de gouvernance, associant les différents acteurs de la société dans leur préparation pour demain.La politique scientifique ne se limite pas à des initiatives personnelles, individuelles ou personnalisées. Elle doit être fondée sur des axes stratégiques en adéquation avec les perspectives réelles et pragmatiques. Les préoccupations scientifiques doivent être orientées vers le développement socio-économique d’une société, voire d’une civilisation en adéquation avec le monde, mais aussi avec tout ce qui a trait à la recherche du « sens », en réponse à la question du pourquoi, et qui s’appuie sur différentes orientations ayant un ancrage scientifique, socio-économique, culturel et historique. S’appuyant sur une stratégie nationale en adéquation avec les perpétuelles mutations des sociétés, nous citons à titre d’exemple la mondialisation, les nivaux régionaux et locaux permettent de prendre en considération les spécificités propres à une région, une ville voire un plus grand ensemble. L’intégration des formations et surtout des « formés » dans le tissus socio-économique doit fortement s’appuyer sur une analyse des besoins en matière de cursus à mettre en place permettant aux entreprises et aux différents acteurs économiques de « trouver » sur place les ressources humaines formées en adéquation avec leurs réels besoins . De plus, ils seront acteurs dans la définition des cursus à mettre en place et dans l’évolution des savoirs et savoir-faire auxquels les formations préparent.A ce propos, nous citons à titre d’exemple, dans les pays avancés tels que les états Unis, l’Angleterre, l’Allemagne et la France, il existe au moins deux axes de développement des formations. Un axe fondé sur ce que l’on peut qualifier de cursus national, international et un axe que l’on peut qualifier de régional ou local. Le premier axe couvre des formations dites d’intérêt national et international, le second prend en considération les réels besoins régionaux. A Lyon par exemple il existe des formations bien spécifiques à la région lyonnaises telles que : le Master spécialisé dans le marketing des produits pharmaceutiques, la licence professionnelle spécialisée dans le management des organisations dédiés aux métiers de la bouche, la licence professionnelle dans le management et la gestion des organisations spécialisée dans « la lumière », … Ces formations s’appuient fortement sur les entreprises et organisations de la région Rhône-Alpes. Le même principe existe dans d’autres régions françaises, anglaises et américaines.Plusieurs dimensions sont à considérer dans la définition d’une politique scientifique dont les pivots sont la formation, l’innovation, la recherche, l’évaluation et l’insertion des étudiants quel que soit l’échelle dans laquelle on se place : au sein d’une équipe, d’un laboratoire, d’une université ou institution, d’une entreprise, d’une localité, d’une région, d’un pays ou d’un grand ensemble partageant les mêmes idéaux. Je cite en particulier : la dimension humaine, la dimension organisationnelle - fonctionnelle et la dimension technologique voire aussi une dimension durable que l’on retrouve à travers les trois premières.La première dimension, socle de tout, constitue l’élément moteur. Ce qui est difficile à mettre en relief dans cette dimension c’est son aspect collégial, coopératif, global, collectif et non son aspect individuel. En effet et à juste titre, dans certains pays en voie de développement, au niveau scientifique, les compétences individuelles existent et sont forts appréciées tant au niveau régional, national qu’au niveau international, à l’inverse des compétences et performances globales et coopératives, le travail reste à faire. Aujourd’hui le constat est simple, chaque individu ayant une capacité scientifique ou une compétence est attiré par les environnements scientifiques de l’occident. Pourquoi ? La réponse est simple : scientifiquement, dans ces environnements, l’individu s’efface en tant qu’individu « singleton », mais trouve sa place dans le collectif, génère sa part dans la performance globale dans l’organisation où il a un rôle. L’impact est énorme au niveau des retombées et de la performance de l’individu et du groupe dans son environnement.La seconde dimension dite « Organisationnelle-Fonctionnelle » couvre l’ensemble des dispositifs et des processus nécessaires à la mise en place d’un environnement favorisant l’innovation, la recherche et l’insertion professionnelle. Quoi de plus signifiant et plus opérationnel que le lien entre les acteurs principaux : Universités, Entreprises, Etudiants et les différents environnements fonctionnels et géographiques ?La troisième dimension est le support de base nécessaire à tout progrès scientifique et à toute innovation. En effet, nul ne peut se passer du volet numérique quel que soit le domaine scientifique sur lequel il travaille. Pour une entreprise, posséder ces outils numériques ne constitue plus aujourd’hui une avancée mais une nécessité permettant une gouvernance et un pilotage opérationnels et stratégiques à la mesure des exigences du monde contemporain : concurrentiel, exigent et à la fois local, régional, national et mondialisé. La dimension durable qui, sans aucun doute, va devenir une dimension omniprésente dans chaque domaine, chaque pays, chaque groupe, chaque politique universitaire et chaque organisation nationale soit –elle, régionale ou internationale. Les orientations scientifiques et universitaires commencent à introduire ce concept de « durabilité » dans toutes leurs activités en particulier celles servant à transmettre des savoirs, à entreprendre une réflexion, à proposer des démarches novatrices en matière de recherche, à définir des indicateurs prenant en considération l’évolution d’aujourd’hui sans compromettre l’avenirEn ce qui concerne les pays en « voie de développement » à défaut de se mettre « au diapason » au niveau de ces dimensions à l’instar des pays développés, on ne fera que prendre du retard en essayant de le rattraper pour ne pas dire être sous une dépendance continue voire pérenne

The ICT integration in administration activities : toward a tridimensional approach

International audienceThe public administration generates, uses, transfers and communicates a huge mass of information. In the "traditional" business processes, one of the most important indicators is the domain’s knowledge. In the Information and Communication Technologies ICT field, the essential indicator covers a broad spectrum of factors describing: the activity itself, the technological performance and the human actor’s implicated in the "public process." In order to study this transformation, we rely on a design approach of communicating information systems called the “tridimensional approach”. We identify the principal brakes and levers in the development of e-government process. We also propose an evolution perspective through the proposal of an Informational Hub serving e-government

Gérer le Web 2.0 : un atout clé pour les PME de l'hôtellerie

International audienceAvec l’essor du Web 2.0, nombreuses sont les PME de l’hôtellerie qui souhaitent renforcer leur présence sur internet avec des sites web interactifs et dynamiques. D’après une étude exploratoire que nous avons menée, nous pouvons voir que les stratégies de communication des hôtels sont bien orientées vers le développement du Web 2.0 et de ses outils associés. Ces nouvelles stratégies repérées et ces pratiques réelles observées, à partir de quelques études de cas, peuvent constituer de nouveaux facteurs clés de succès pour les nouvelles PME de l’industrie hôtelière de demain. A l’issue de cette analyse comparative, des propositions de « bonnes pratiques » sont proposés

Real-Time Implementation of High Performance Control Scheme for Grid-Tied PV System for Power Quality Enhancement Based on MPPC-SVM Optimized by PSO Algorithm

This paper proposes a high performance control scheme for a double function grid-tied double-stage PV system. It is based on model predictive power control with space vector modulation. This strategy uses a discrete model of the system based on the time domain to generate the average voltage vector at each sampling period, with the aim of canceling the errors between the estimated active and reactive power values and their references. Also, it imposes a sinusoidal waveform of the current at the grid side, which allows active power filtering without a harmonic currents identification phase. The latter attempts to reduce the size and cost of the system as well as providing better performance. In addition, it can be implemented in a low-cost control platform due to its simplicity. A double-stage PV system is selected due to its flexibility in control, unlike single-stage strategies. Sliding mode control-based particle swarm optimization (PSO) is used to track the maximum power of the PV system. It offers high accuracy and good robustness. Concerning DC bus voltage of the inverter, the anti-windup PI controller is tuned offline using the particle swarm optimization algorithm to deliver optimal performance in DC bus voltage regulation. The overall system has been designed and validated in an experimental prototype; the obtained results in different phases demonstrate the higher performance and the better efficiency of the proposed system in terms of power quality enhancement and PV power injection